Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures
Contacts dans le poste diplomatique "Ambassade de France à Nouakchott"
Pas de correspondant coopération décentralisée
Pas de conseiller de coopération et d'action culturelle
Pas de conseiller de coopération et d'action culturelle
Titre
Plan communal d’assainissement et d’éducation à l’hygiène de Boutilimit et mise en œuvre dans les écoles
Année de signature de la convention
1986
Thématique d'intervention
Environnement, Climat et Energie
Sous-thématique d'intervention
Eau et déchets
Sous-sous-thématique d'intervention
Eau et assainissement
Autres thématiques mises en œuvre pour le partenariat
Thématique éligible | Sous-thématique | Sous-sous-thématique | Priorité |
---|
<<
< pagination.page.precedent
1
pagination.page.suivant >
>>
Année de début du partenariat
1986
Le partenariat est :
Terminé
Date de fin du partenariat
19/04/2019
Contexte
1- Contexte national
Suite aux déclarations de Ouagadougou (23 février 2005) et de Thekwini (2008), se plaçant résolument dans le cadre des Objectifs du Millénaire pour le Développement, la Mauritanie a engagé en août 2011 une politique nationale d’assainissement liquide, confirmée par la mise en oeuvre d’un programme stratégique national d’assainissement.
L’approche retenue place l’assainissement sous l’angle de la promotion des changements de comportements par rapport à l’hygiène, d’où l’importance des actions d’Information – Education – Communication.
La stratégie d’assainissement de la Mauritanie vise onze objectifs principaux, parmi lesquels :
3 – susciter le changement de comportement des populations pour l’acquisition et la bonne utilisation des ouvrages, ainsi que pour des pratiques d’hygiène adéquates. (L’éducation à l’hygiène est à promouvoir au sein des écoles, par la réalisation de dispositifs appropriés tels que des points d’eau permettant de se laver les mains après utilisation de la latrine).
4 – passer d’un taux de couverture national en assainissement amélioré des eaux usées de 32,4% en 2012 à un taux de 64,6% en 2020 ;
6 – améliorer l’accès à l’assainissement des eaux usées et excrétas dans les établissements publics de type scolaire, sanitaire et commercial.
Le plan national d’action vise en priorité les groupes vulnérables qui sont les premières victimes d’un assainissement inapproprié : les enfants, les femmes et, en général, les populations pauvres des zones périurbaines. Une attention particulière est portée sur l'insuffisance des installations sanitaires dans les écoles, qui affecte le taux de fréquentation en général et des jeunes filles en particulier, obligées d’abandonner l'école à l'âge de la puberté faute de toilettes leur offrant un minimum d’intimité.
Selon le plan national, il est précisé que :
-- la demande des usagers doit déterminer l’offre de services et non l’inverse ;
-- la construction et la conception des latrines doivent être culturellement appropriées ;
-- les écoles et les structures sanitaires seront privilégiés, parce qu’elles constituent des lieux d’apprentissage et de sensibilisation pour de meilleures pratiques en termes d’hygiène.
Les collectivités locales sont chargées de la promotion de l’hygiène et de l’assainissement. Elles ont la responsabilité de mettre en œuvre au niveau local les orientations définies dans les politiques et stratégies nationales. Des appuis leur seront apportés par l’autorité centrale, afin qu’elles puissent définir leur stratégie locale en concertation avec toutes les parties prenantes, pour permettre au plus grand nombre l’accès à un assainissement adéquat.
Elles peuvent également :
-- développer des projets de réalisation d’ouvrages d’assainissement,
-- assurer l’exploitation d’ouvrages d’assainissement (par exemple des édicules publics),
-- et participer au financement de projets de l’Etat ou d’acteurs de la société civile.
Le plan national d’action prévoit les investissements dans la période 2012-2020, parmi lesquels :
-- la réalisation d’ouvrages d’assainissement communautaire (latrines publiques) ;
-- la promotion de l’hygiène et de l’assainissement ;
Cela se traduit en particulier par :
-- la dotation en ouvrages d’assainissement adéquats dans 700 établissements publics préscolaires et primaires entre 2012 et 2015
-- l’éducation à l’hygiène et à l’assainissement introduite dans les programmes scolaires des écoles primaires entre 2015 et 2020 : les élèves seront sensibilisés sur le lavage des mains avec du savon et les risques liés à la défécation à l’air libre.
-- la vulgarisation et la célébration de la semaine nationale de l’assainissement à partir de 2013.
2- Contexte européen
La commune de Boutilimit est incluse depuis plusieurs années dans le programme européen d’appui institutionnel PERICLES et peut compter sur un appui technique dont la formation des élus.
3- Contexte sénartais
Le San (syndicat d’agglomération nouvelle) de Sénart, auquel appartient la commune de Savigny-le-Temple, mène depuis plusieurs années des programmes d'appui à la décentralisation et au développement local. Ceux-ci ont permis la rédaction d’un plan de développement local et son adoption par le conseil municipal.
L’actuel programme intercommunal coordonné par le San de Sénart, prévoit un «appui à l'association des maires des communes mauritaniennes jumelées avec les communes françaises du San de Sénart» avec la mise à disposition d'un cadre mauritanien rendant des services aux communes (conseil en développement local, ingénierie de projets, possibilités de financement en particulier).
Parmi les communes jumelées avec des communes sénartaises, plusieurs de celles situées dans le sud du Trarza bénéficient du programme Aïcha mis en œuvre par le GRET (avec la détermination de plans hydrauliques et d’assainissement communaux et la réalisation d’infrastructures en particulier en milieu scolaire et sanitaire). Boutilimit, ville géographiquement plus au nord, n’est pas incluse dans ce programme mais les échanges entre communes sénartaises et avec le GRET ont permis de capitaliser les bénéfices de ce programme.
4- Contexte local
Depuis plusieurs années, le conseil municipal de Boutilimit, accompagné par Savigny-le-Temple et suivant le plan de développement local qu’il a adopté, s’est donné comme priorité de développer l’assainissement dans la commune. Ainsi, dans le cadre de la coopération décentralisée, il a :
-- mis en place un service communal d’hygiène depuis1998 pour la collecte/gestion des ordures ménagères ;
-- mené une campagne d’éducation « Boutilimit sans sacs plastique » en 2010 ;
-- construit des toilettes publiques au marché en 2009-2010, gérées par un commerçant ;
-- prévu depuis deux ans de prioriser dans son budget 2013 des travaux dans les écoles urbaines ;
-- demandé à Savigny-le-Temple de l’accompagner pour étendre les travaux aux écoles rurales. La commune comporte environ 30 écoles, de 60 à 400 élèves chacune selon les localités.
Suite aux déclarations de Ouagadougou (23 février 2005) et de Thekwini (2008), se plaçant résolument dans le cadre des Objectifs du Millénaire pour le Développement, la Mauritanie a engagé en août 2011 une politique nationale d’assainissement liquide, confirmée par la mise en oeuvre d’un programme stratégique national d’assainissement.
L’approche retenue place l’assainissement sous l’angle de la promotion des changements de comportements par rapport à l’hygiène, d’où l’importance des actions d’Information – Education – Communication.
La stratégie d’assainissement de la Mauritanie vise onze objectifs principaux, parmi lesquels :
3 – susciter le changement de comportement des populations pour l’acquisition et la bonne utilisation des ouvrages, ainsi que pour des pratiques d’hygiène adéquates. (L’éducation à l’hygiène est à promouvoir au sein des écoles, par la réalisation de dispositifs appropriés tels que des points d’eau permettant de se laver les mains après utilisation de la latrine).
4 – passer d’un taux de couverture national en assainissement amélioré des eaux usées de 32,4% en 2012 à un taux de 64,6% en 2020 ;
6 – améliorer l’accès à l’assainissement des eaux usées et excrétas dans les établissements publics de type scolaire, sanitaire et commercial.
Le plan national d’action vise en priorité les groupes vulnérables qui sont les premières victimes d’un assainissement inapproprié : les enfants, les femmes et, en général, les populations pauvres des zones périurbaines. Une attention particulière est portée sur l'insuffisance des installations sanitaires dans les écoles, qui affecte le taux de fréquentation en général et des jeunes filles en particulier, obligées d’abandonner l'école à l'âge de la puberté faute de toilettes leur offrant un minimum d’intimité.
Selon le plan national, il est précisé que :
-- la demande des usagers doit déterminer l’offre de services et non l’inverse ;
-- la construction et la conception des latrines doivent être culturellement appropriées ;
-- les écoles et les structures sanitaires seront privilégiés, parce qu’elles constituent des lieux d’apprentissage et de sensibilisation pour de meilleures pratiques en termes d’hygiène.
Les collectivités locales sont chargées de la promotion de l’hygiène et de l’assainissement. Elles ont la responsabilité de mettre en œuvre au niveau local les orientations définies dans les politiques et stratégies nationales. Des appuis leur seront apportés par l’autorité centrale, afin qu’elles puissent définir leur stratégie locale en concertation avec toutes les parties prenantes, pour permettre au plus grand nombre l’accès à un assainissement adéquat.
Elles peuvent également :
-- développer des projets de réalisation d’ouvrages d’assainissement,
-- assurer l’exploitation d’ouvrages d’assainissement (par exemple des édicules publics),
-- et participer au financement de projets de l’Etat ou d’acteurs de la société civile.
Le plan national d’action prévoit les investissements dans la période 2012-2020, parmi lesquels :
-- la réalisation d’ouvrages d’assainissement communautaire (latrines publiques) ;
-- la promotion de l’hygiène et de l’assainissement ;
Cela se traduit en particulier par :
-- la dotation en ouvrages d’assainissement adéquats dans 700 établissements publics préscolaires et primaires entre 2012 et 2015
-- l’éducation à l’hygiène et à l’assainissement introduite dans les programmes scolaires des écoles primaires entre 2015 et 2020 : les élèves seront sensibilisés sur le lavage des mains avec du savon et les risques liés à la défécation à l’air libre.
-- la vulgarisation et la célébration de la semaine nationale de l’assainissement à partir de 2013.
2- Contexte européen
La commune de Boutilimit est incluse depuis plusieurs années dans le programme européen d’appui institutionnel PERICLES et peut compter sur un appui technique dont la formation des élus.
3- Contexte sénartais
Le San (syndicat d’agglomération nouvelle) de Sénart, auquel appartient la commune de Savigny-le-Temple, mène depuis plusieurs années des programmes d'appui à la décentralisation et au développement local. Ceux-ci ont permis la rédaction d’un plan de développement local et son adoption par le conseil municipal.
L’actuel programme intercommunal coordonné par le San de Sénart, prévoit un «appui à l'association des maires des communes mauritaniennes jumelées avec les communes françaises du San de Sénart» avec la mise à disposition d'un cadre mauritanien rendant des services aux communes (conseil en développement local, ingénierie de projets, possibilités de financement en particulier).
Parmi les communes jumelées avec des communes sénartaises, plusieurs de celles situées dans le sud du Trarza bénéficient du programme Aïcha mis en œuvre par le GRET (avec la détermination de plans hydrauliques et d’assainissement communaux et la réalisation d’infrastructures en particulier en milieu scolaire et sanitaire). Boutilimit, ville géographiquement plus au nord, n’est pas incluse dans ce programme mais les échanges entre communes sénartaises et avec le GRET ont permis de capitaliser les bénéfices de ce programme.
4- Contexte local
Depuis plusieurs années, le conseil municipal de Boutilimit, accompagné par Savigny-le-Temple et suivant le plan de développement local qu’il a adopté, s’est donné comme priorité de développer l’assainissement dans la commune. Ainsi, dans le cadre de la coopération décentralisée, il a :
-- mis en place un service communal d’hygiène depuis1998 pour la collecte/gestion des ordures ménagères ;
-- mené une campagne d’éducation « Boutilimit sans sacs plastique » en 2010 ;
-- construit des toilettes publiques au marché en 2009-2010, gérées par un commerçant ;
-- prévu depuis deux ans de prioriser dans son budget 2013 des travaux dans les écoles urbaines ;
-- demandé à Savigny-le-Temple de l’accompagner pour étendre les travaux aux écoles rurales. La commune comporte environ 30 écoles, de 60 à 400 élèves chacune selon les localités.
Historique
Depuis 1988, le conseil municipal se préoccupe de la propreté de la ville. L’accompagnement par la coopération décentralisée avec Savigny-le-Temple, après diverses études, a permis la mise en place d’un service communal d’hygiène en 1998, en premier lieu pour la collecte /gestion des ordures ménagères. L’accompagnement s’est poursuivi depuis.
C’est ainsi qu’ont été réalisées conjointement une campagne d’éducation « Boutilimit sans sacs plastique » et la construction de toilettes publiques au marché, gérées par un commerçant.
Par ailleurs, deux nouveaux collèges ont été construits par l’Etat à Boutilimit et sont équipés de latrines adaptées. Le directeur du collège d’Ougueye regrette toutefois l’absence de clôture qui éviterait les dépôts sauvages de déchets et garantirait un environnement sanitaire approprié.
L’association Isagh Ould Rajel a financé la construction des latrines et le raccordement au réseau d’eau à l’école du quartier périphérique de Zem-Zem.
Le GRET intervient avec le programme Aïcha dans plusieurs localités du sud du Trarza, jumelées avec des communes sénartaises. Son expérience a conduit à préconiser de compléter l’aménagement de toilettes par la construction d’une clôture afin de préserver un espace scolaire sain et d’améliorer de fait l’hygiène et la gestion des déchets de manière générale au niveau de l’école.
L’hôpital local a sollicité la commune de Boutilimit et la coopération décentralisée pour l’élimination de ses déchets sensibles.
La sensibilisation à la non utilisation des sacs plastiques et donc à la préservation d’un environnement sain se poursuivra en 2013 avec la distribution de 2 000 sacs en coton.
Comme l’a prévu la stratégie nationale d’assainissement, ces actions ont conduit des enseignants, en particulier des directeurs, à demander des équipements adaptés dans toutes les écoles : latrines et clôture.
Le conseil municipal de Boutilimit a donc prévu dans son budget des travaux dans les écoles.
C’est ainsi qu’ont été réalisées conjointement une campagne d’éducation « Boutilimit sans sacs plastique » et la construction de toilettes publiques au marché, gérées par un commerçant.
Par ailleurs, deux nouveaux collèges ont été construits par l’Etat à Boutilimit et sont équipés de latrines adaptées. Le directeur du collège d’Ougueye regrette toutefois l’absence de clôture qui éviterait les dépôts sauvages de déchets et garantirait un environnement sanitaire approprié.
L’association Isagh Ould Rajel a financé la construction des latrines et le raccordement au réseau d’eau à l’école du quartier périphérique de Zem-Zem.
Le GRET intervient avec le programme Aïcha dans plusieurs localités du sud du Trarza, jumelées avec des communes sénartaises. Son expérience a conduit à préconiser de compléter l’aménagement de toilettes par la construction d’une clôture afin de préserver un espace scolaire sain et d’améliorer de fait l’hygiène et la gestion des déchets de manière générale au niveau de l’école.
L’hôpital local a sollicité la commune de Boutilimit et la coopération décentralisée pour l’élimination de ses déchets sensibles.
La sensibilisation à la non utilisation des sacs plastiques et donc à la préservation d’un environnement sain se poursuivra en 2013 avec la distribution de 2 000 sacs en coton.
Comme l’a prévu la stratégie nationale d’assainissement, ces actions ont conduit des enseignants, en particulier des directeurs, à demander des équipements adaptés dans toutes les écoles : latrines et clôture.
Le conseil municipal de Boutilimit a donc prévu dans son budget des travaux dans les écoles.
Objectif du partenariat
Donner à la commune de Boutilimit tous les atouts pour remplir pleinement son rôle en matière d’assainissement sur l’ensemble du territoire communal.
Description détaillée du partenariat
Ce projet consiste à accompagner le conseil municipal de Boutilimit pour la généralisation de l’assainissement dans toutes les localités de la commune, rurales et péri-urbaines, particulièrement en faveur des familles pauvres.
Il s’agit en premier lieu de sensibiliser les familles via leurs enfants pour susciter la demande de toilettes individuelles dans les habitations. Pour cela, il est nécessaire de commencer par la création de toilettes dans les écoles et par la formation des élèves aux gestes d’hygiène pour créer ainsi le besoin dans les familles et, dans le même temps, de participer, pour la première année à Boutilimit, à la journée mondiale du lavage des mains et d’y organiser la semaine de l’assainissement.
Deux actions sont donc envisagées :
-- La participation de Boutilimit à la journée mondiale du lavage des mains le 15 octobre et à la semaine nationale de l’assainissement ;
-- La sensibilisation et la formation des enfants et indirectement de leurs familles par la construction de toilettes dans les écoles.
- Organiser à Boutilimit la « Journée mondiale du lavage des mains » et la « Semaine nationale de l’assainissement »
Objectif de l’action : Développer de nouveaux comportements des familles, conformes à une bonne hygiène, en les sensibilisant via leurs enfants à la nécessité de prendre les mesures d’hygiène élémentaires comme le lavage des mains, condition sine qua none à un environnement sanitaire approprié.
Description sommaire : Organiser avec les enseignants et les personnels du centre de santé la « journée mondiale du lavage des mains » et une « semaine de l’assainissement » :
-- parler en classe de la nécessité du lavage des mains ;
-- diffuser l’information à l’aide de concours de poésie et de saynètes mises en scène par l’association des jeunes (1 500 €) ;
-- réaliser des affiches posées dans les lieux publics (écoles, centre de santé et hôpital, mairie, etc.) (1 500 €) ;
-- distribuer les sacs « nos villes sans sacs plastique » (2 280 €).
Il s’agit en premier lieu de sensibiliser les familles via leurs enfants pour susciter la demande de toilettes individuelles dans les habitations. Pour cela, il est nécessaire de commencer par la création de toilettes dans les écoles et par la formation des élèves aux gestes d’hygiène pour créer ainsi le besoin dans les familles et, dans le même temps, de participer, pour la première année à Boutilimit, à la journée mondiale du lavage des mains et d’y organiser la semaine de l’assainissement.
Deux actions sont donc envisagées :
-- La participation de Boutilimit à la journée mondiale du lavage des mains le 15 octobre et à la semaine nationale de l’assainissement ;
-- La sensibilisation et la formation des enfants et indirectement de leurs familles par la construction de toilettes dans les écoles.
- Organiser à Boutilimit la « Journée mondiale du lavage des mains » et la « Semaine nationale de l’assainissement »
Objectif de l’action : Développer de nouveaux comportements des familles, conformes à une bonne hygiène, en les sensibilisant via leurs enfants à la nécessité de prendre les mesures d’hygiène élémentaires comme le lavage des mains, condition sine qua none à un environnement sanitaire approprié.
Description sommaire : Organiser avec les enseignants et les personnels du centre de santé la « journée mondiale du lavage des mains » et une « semaine de l’assainissement » :
-- parler en classe de la nécessité du lavage des mains ;
-- diffuser l’information à l’aide de concours de poésie et de saynètes mises en scène par l’association des jeunes (1 500 €) ;
-- réaliser des affiches posées dans les lieux publics (écoles, centre de santé et hôpital, mairie, etc.) (1 500 €) ;
-- distribuer les sacs « nos villes sans sacs plastique » (2 280 €).
Votre partenariat prend la forme d'un(e)
Projet de coopération décentralisée
Partenaires étrangers du partenariat
Nom de la collectivité étrangère | Pays | |
---|---|---|
Commune de Boutilimit | Mauritanie | ![]() |
Contacts dans les partenaires étrangers du partenariat
Nom de la collectivité étrangère | Nom | Prénom | Fonction | Courriel |
---|---|---|---|---|
Commune de Boutilimit | Abd el Vettah | Youssouf | yavettah@gmail.com |
Collectivités territoriales partenaires du partenariat
Nom de la collectivité territoriale | |
---|---|
Savigny le Temple | ![]() |
Autres partenaires du partenariat en France
Conseil général de Seine-et-Marne
Autres partenaires du partenariat dans le(s) pays partenaire(s)
Commune de Boutilimit
Le partenariat n'est pas triennal
Financement du partenariat
Nom du financeur | Montant en euros | Montant 1% Eau (Loi 2005) | Montant 1% Eau (Loi 2005) | Montant 1% Eau (Loi 2005) | Montant 1% Eau (Loi 2005) | Année |
---|---|---|---|---|---|---|
Savigny le Temple | 31000 | 0 | 1986 | |||
Ministère de l'Europe et des Affaires étrangères | 10000 | 1986 | ||||
Conseil général de Seine-et-Marne, Commune de Bout | 65000 | 1986 | ||||
Autre | 24000 | 0 | 1986 |
Volontaires impliqués dans le partenariat (VSI, service civique, etc.) d'Échange et de Solidarité
Nom | Prénom | Mission | Champs d'action | Entité d'affectation |
---|